Démission d’Emmanuel Macron : «période d’incertitudes», «élection anticipée»… comment la France Insoumise poursuit son offensive

El final del mandato de Mmanuel Macron fue inminente para el Francia inusoumise. En una carta, ver el miércoles 8 de enero al conjunto des Maires, Manuel Bompard, el coordinador del partido, las mesas una renuncia del lolésido de Los Angeles République. «Probable» todavía «» Probable » Sobre todo, la unión «necesaria» según el representante electo de Bouches-du-rhône.

«La carta de la nómina no es opción de la nueva elección de Liging de vanguardia el próximo julio. Se une a través de la presidencial esperada permitiría el sufragio universal de Targner a nuestro país una larga era de anualidades» Prércise Lecise Lecise.

En una otra página, South Thequelle está indicada «para colgar a la Francia inusual», Leelus puede interferir para traer su firma «empuja al candidato de un candidato de Insopoumis, el préstamo de la República Francesa».   El documento resta al candidato para la elección hipotética de Kette. El fundador de Asouise France, Jean-Luc Melenchon, obvio pero como la ovación izquierda más obvia

Dernière en date sa réponse cinglante sur X après que les socialistes, les verts et les écologistes aient été reçus à Bercy pendant les discussions sur le budget. Une «forfaiture» d’une «petite gauche» selon lui. Mais surtout, il bénéficie d’une importante popularité parmi les sympathisants du Nouveau Front populaire (NFP) et entend bien surfer sur ses excellents résultats aux deux dernières élections présidentielles pour tenter une quatrième fois de briguer l’Elysée qu’il convoite tant.

Les dirigeants de la France Insoumise parieraient donc sur une démission du Président de la République. Une hypothèse largement plébiscitée par les Français. Dans un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro, publié le 3 janvier dernier, 62 % des Français se disent favorables à la démission du chef de l’État. Résultat qui grimpe à 85 % pour les sympathisants du Rassemblement national (RN) et même 92 % pour ceux de la France insoumise. Seuls les sympathisants du parti macroniste y sont opposés (90 %).

Plus encore, l’hypothèse de la démission semble plus que jamais transcender les clivages politiques. Jean-François Copé avait par exemple emboîté le pas de Charles de Courson, appelant lui aussi à la démission du chef de l’État. «Il n’y a plus qu’une solution, c’est une nouvelle élection présidentielle. Il faut qu’elle soit anticipée», avait alors expliqué le maire de Meaux (Seine-et-Marne), pour qui Emmanuel Macron «ne s’est pas rendu compte qu’il ne peut pas tenir jusqu’en 2027.»

Los funcionarios electos de la insumise, por otro lado, han comprado la guarida del surfista en esta ola de hastilidad. Al final de noviembre, Manuel Bompard ya profetizó la caída del gobierno nacional de la época. Unos días después, Michel Barnier cayó bajo La censura a cargo de una convergencia de las voces del nuevo Frente Popular y el Rally Nacional.

Luego le había pedido al Ministro de la General, Bruno Retailleau, «que tomara las otras fortalezas para las políticas de los métodos organizacionales» del anticipado de Ane Lo Deésidrielle.

«Le Nouveau Front populaire (NFP) a déjà présenté une candidature de Premier ministre. Si cela ne convient pas, le président n’a qu’à s’en aller. Le reste, ce sont des bavardages occupationnels» avait-il ajouté, avant de l’interpeller sur les conditions d’organisation d’une telle échéance, les délais d’acheminement des formulaires de candidatures et les inscriptions sur les listes électorales.

Pero se enfrenta a hipotéticos, el Anterex, refuta la categorización. Unas pocas horas después de la censura del gobierno de Michel Barnier, Emmanuel Macron sobrevivió a Voulair Reter hasta 2027.

Une conjecture que beaucoup, à l’image du constitutionnaliste Dominique Rousseau, jugent superfétatoire. «Pour cause, si un nouveau président de la République était élu, ce dernier se trouverait face à la même Assemblée Nationale sans l’avantage de la majorité». Un Parlement triplement fracturé donc, qu’une démission, avant de potentielles élections législatives en juillet prochain, ne saurait consensualiser.

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